Mercredi 21 août
Ils quittent Verdun-sur-le-Doubs vers 10:15.
Le beau temps s’est installé, pour durer selon les prévisions. Ils rejoignent la Saône qu’ils ont décidé de remonter. La famille du pêcheur a installé son campement sur la berge. «L’autre» connaît le chemin. Il trouve sans difficulté une place au quai de Seurre après 2,5 heures de navigation pour une vingtaine de kilomètres et une écluse. Petite étape pour une remise en conditions. Ils rejoignent leur terrasse à la rue de la République.
Jeudi 22 août
A la tombée du jour, la Saône s’enflamme, le quai s’illumine.
Ils larguent les amarres un peu plutôt que la veille, vers 9:45, pour une étape équivalente: Seurre – Saint-Jean-de-Losne, 17 km et 1 écluse. La péniche Aramis fait le plein avant de redescendre vers la Méditerranée. Il sonne 12:00 au clocher de l’église Saint-Jean-Baptiste lorsqu’ils atteignent Saint-Jean-de-Losne. Quand il ne trouve plus de place aux pontons, «l’autre» va voir «Anima».
Vendredi 23 août
Sous le soleil levant, la péniche a entamé sa longue journée de descente vers le Sud. Eux n’en sont encore qu’au petit-déjeuner. Ils savent qu’ils ne largueront pas les amarres avant quelques jours. C’est la troisième fois cette saison qu’ils font escale à Saint-Jean-de-Losne. Et ce n’est sans doute pas la dernière. A chaque escale ils ont leur terrasse. Ici c’est «Si par hasard», chez Jeanne.
Samedi 24 août
Au petit matin, l’eau et le ciel se fondent dans la brume.
La rosée révèle les toiles d’araignées accrochées aux vélos oubliés. La brume se dissipe rapidement pour dévoiler un ciel immaculé. Ils prolongent l’escale à Saint-Jean-de-Losne, amarrés à leur péniche-hôte. Au plus chaud de la journée, la température dépasse les trente degrés. Chez Jeanne la terrasse offre toujours quelques curiosités.
Dimanche 25 août
Ils sont toujours à Saint-Jean-de-Losne.
La journée est chaude et moite, avare de courants d’air. Mais ils ne craignent plus la canicule. Ils savent qu’au coucher du soleil la température deviendra rapidement agréable, même fraîche. En prolongeant les escales, ils prennent le risque de ne rien avoir à écrire d’inédit, ni à monter d’insolite. C’est le cas aujourd’hui. Traversez, il n’y a rien à voir.
Lundi 26 août
La journée sera chaude. Le soleil l’annonce dès le lever.
Hier, ils ont profité des équipements du camping voisin pour laver leur linge. Ils destinent la journée au bricolage. Ils ont acquis le matériel nécessaire au remplacement de la bâche de fermeture du toit ouvrant. En fin de matinée, ils sont contraints d’abandonner sous les assauts du soleil. Ils achèveront le travail demain. Les prévisions annoncent l’arrivée de nuages. En attendant, ils cherchent de l’ombre à la guinguette du camping et sur la terrasse de leur péniche-hôte.
Mardi 27 août
Ils se sont levés plus tôt que d’habitude. Le soleil est encore en pyjama.
Ils achèvent à la fraîche les bricoles entreprises la veille. Les péniches sont également au turbin. Comme prévu, un voile de nuages calme les ardeurs du soleil. Ils largueront les amarres demain pour s’engager dans le canal du Rhône au Rhin. Ils ne quitteront pas Saint-Jean-de-Losne sans aller saluer Jeanne.
Ils quittent Verdun-sur-le-Doubs vers 10:15.
Le beau temps s’est installé, pour durer selon les prévisions. Ils rejoignent la Saône qu’ils ont décidé de remonter. La famille du pêcheur a installé son campement sur la berge. «L’autre» connaît le chemin. Il trouve sans difficulté une place au quai de Seurre après 2,5 heures de navigation pour une vingtaine de kilomètres et une écluse. Petite étape pour une remise en conditions. Ils rejoignent leur terrasse à la rue de la République.
Jeudi 22 août
A la tombée du jour, la Saône s’enflamme, le quai s’illumine.
Ils larguent les amarres un peu plutôt que la veille, vers 9:45, pour une étape équivalente: Seurre – Saint-Jean-de-Losne, 17 km et 1 écluse. La péniche Aramis fait le plein avant de redescendre vers la Méditerranée. Il sonne 12:00 au clocher de l’église Saint-Jean-Baptiste lorsqu’ils atteignent Saint-Jean-de-Losne. Quand il ne trouve plus de place aux pontons, «l’autre» va voir «Anima».
Vendredi 23 août
Sous le soleil levant, la péniche a entamé sa longue journée de descente vers le Sud. Eux n’en sont encore qu’au petit-déjeuner. Ils savent qu’ils ne largueront pas les amarres avant quelques jours. C’est la troisième fois cette saison qu’ils font escale à Saint-Jean-de-Losne. Et ce n’est sans doute pas la dernière. A chaque escale ils ont leur terrasse. Ici c’est «Si par hasard», chez Jeanne.
Samedi 24 août
Au petit matin, l’eau et le ciel se fondent dans la brume.
La rosée révèle les toiles d’araignées accrochées aux vélos oubliés. La brume se dissipe rapidement pour dévoiler un ciel immaculé. Ils prolongent l’escale à Saint-Jean-de-Losne, amarrés à leur péniche-hôte. Au plus chaud de la journée, la température dépasse les trente degrés. Chez Jeanne la terrasse offre toujours quelques curiosités.
Dimanche 25 août
Ils sont toujours à Saint-Jean-de-Losne.
La journée est chaude et moite, avare de courants d’air. Mais ils ne craignent plus la canicule. Ils savent qu’au coucher du soleil la température deviendra rapidement agréable, même fraîche. En prolongeant les escales, ils prennent le risque de ne rien avoir à écrire d’inédit, ni à monter d’insolite. C’est le cas aujourd’hui. Traversez, il n’y a rien à voir.
Lundi 26 août
La journée sera chaude. Le soleil l’annonce dès le lever.
Hier, ils ont profité des équipements du camping voisin pour laver leur linge. Ils destinent la journée au bricolage. Ils ont acquis le matériel nécessaire au remplacement de la bâche de fermeture du toit ouvrant. En fin de matinée, ils sont contraints d’abandonner sous les assauts du soleil. Ils achèveront le travail demain. Les prévisions annoncent l’arrivée de nuages. En attendant, ils cherchent de l’ombre à la guinguette du camping et sur la terrasse de leur péniche-hôte.
Mardi 27 août
Ils se sont levés plus tôt que d’habitude. Le soleil est encore en pyjama.
Ils achèvent à la fraîche les bricoles entreprises la veille. Les péniches sont également au turbin. Comme prévu, un voile de nuages calme les ardeurs du soleil. Ils largueront les amarres demain pour s’engager dans le canal du Rhône au Rhin. Ils ne quitteront pas Saint-Jean-de-Losne sans aller saluer Jeanne.